Par Abby, Ella, Myrrh, et Benham
Sujet 1 – La colonisation et la guerre de 7 ans et les divisions qu’elles ont créé (Abby)
A commencer par la colonisation du Québec, la France avait une forte influence sur la culture, la religion, les lois, la politique, et la langue. En 1534, sur son deuxième voyage au Canada sous le règne du roi François I, Jacque Cartier découvre la région qu’il s’est appelle la Nouvelle France avec la région de Québec. Plus tard, en nom de roi de France, Henri IV, Samuel de Champlain a établi la nouvelle colonie de France, Québec, et après l’Edict de 1663, Québec est devenu une colonie royale. Le Québec a traité une partie de France ou le roi avait contrôle du gouvernement et des gens du Québec et nouvelle France étaient les gens de la région étaient les sujets français.
Mais, après que l’Angleterre gagna la guerre de 7 ans, La France devait signer le traité de Paris de 1763 et abandonner Québec qui puis devenait une colonie anglais. Les français au Québec voulaient garder leur culture et leur loi, donc les anglais avaient des compromis avec les gens pour qu’ils pourraient garder beaucoup des leur government independent et leur langue et culture.
Donc, même après que l’Angleterre a pris contrôle de Québec, la région gardait leurs traditions et leur culture francophonie, religion de Catholicisme, leur langue, et partiellement, leur gouvernement individuel. Les différences entre le Québec et le reste du Canada étaient grandes politiquement et culturellement. Et ces différences ont créé les divisions entre les régions anglophones au Canada et le Québec francophone pour les années à venir.
- https://histoire-du-quebec.ca/guerre-sept-ans/
- https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/acte-de-quebec
- https://www.axl.cefan.ulaval.ca/francophonie/HISTfrQC_s1_Nlle-France.htm
Sujet 2 – La religion au Québec (Ella)
Quand les français sont arrivés au Québec, au seizième siècle, la majorité des français étaient catholiques. Les protestants ont existé, mais la majorité était catholique. À cause de ça, la majorité des Québécois qui sont venus de France était catholiques aussi.
À Montréal, il y a un commaunté Juif très grand. Beaucoup des Juifs ont emménagé-là d’Europe Est à cause de la Deuxième Guerre Mondiale. Malheureusement, ils ont traversé beaucoup d’antisémitisme. Par exemple, c’était la règle jusqu’à après la Deuxième Guerre Mondiale à Mcgill d’accepter juste un petit nombre des Juifs. Le président de l’université a dit que, s’il y a plus Juifs à McGill, les gens Chrétiens ne vont pas avoir une bonne éducation.
Au vingtième siècle, de plus en plus gens qui ont éménagé au Québec étaient d’Asie et, en particulier, les gens du Moyen Orient. En 2003, pour le première fois, il y avait plus de musulmans qu’il y avait de Juifs au Québec. Récemment, le gouvernement du Québec a adopté une loi controversée qui dit que les symboles du réligion partout au Québec sont illégaux, une loi qui s’applique plus aux femmes qui portent un voile et les Sikhs.
Plus que jamais, il y a plus de gens athées maintenant au Québec. En fait, en 2001, les catholiques étaient 83% de la population Québécoise, En 2011, c’était 75%. Mais c’est une tendance de partout dans le monde, alors, c’est difficile de savoir si c’est unique au Québec.
- https://www.cdpdj.qc.ca/storage/app/media/publications/religion-Quebec-statistiques.pdf
- https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/660136/religion-catholiques-sondage-quebec
- https://www.erudit.org/fr/revues/mensaf/2001-v2-n1-mensaf01345/1024456ar.pdf
- https://www.statcan.gc.ca/sites/default/files/6493-fra.pdf
- https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1161188/loi-laicite-quebec-caq-outaouais-islamophope
- https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/711137/portrait-religieux-montreal
- http://mimj.ca/location/1943
Sujet 3 – Le changement de la politique canadienne a cause du Québec (Myrrh)
Le Canada est un pays bilingue, mais il y a moins de francophones que les anglophones, et les francophones sont isolés au Québec. Alors, il y a de la controverse de puissance des politiciens bilingues parce qu’il y a plus des politiciens bilingues québécois, mais aussi, les québécois étaient oppressé jusqu’à récemment. Aussi, la langue français est très importante pour la culture québécoise.
Au Québec, les politiques sont très unique. Avant 1960, le Québec a été très influencé par l’Église Catholique, et le Québec n’était pas plus moderne que les autres provinces. À l’élection de 1960, le parti Liberal du Canada a gagné, et le premier ministre, Jean Lesage, a apporté des réformes: il a créé un système des hôpitaux publiques, des départements pour la culture (par exemple, il a nommé des Ministères des Affaires Culturelles et Affaires Fédérales-Provinciales), et il a réduit l’influence de l’Église Catholique en Québec. Donc, plus des séparatistes étaient élus jusqu’à le Canada devienne un pays bilingue.
Historiquement, les anglophones avaient plus de puissance, mais il y a plus des québécois au pouvoir. Les Conservatifs n’aime pas les conditions parce qu’ils trouvent que le Canada est moins démocratiques: la plupart des bilingues habitent au Québec, et maintenant, il y a plus des minorités au Canada, pas juste des francophones. Il pense que le Canada donne la priorité aux minorités français. Les Québécois pensent qu’il est plus important pour préserver la culture français, et le système maintenant est idéal.
Maintenant, la société de Québec est plus laïque. Malheureusement, le Québec a créé des lois qui interdisent les symboles et vêtements religieux, en particulier la Loi 21. C’est plus nuisible pour les gens de certaines religions que les autres religions. Il y a un impact dans les politiques fédérales du Canada: le Nouveau Parti Démocratique a devenu moins réussi après que le chef a condamné la Loi 21. Maintenant, le chef du Nouveau Parti Démocratique est un homme Sikh qui s’appelle Jagmeet Singh, et peut-être, il y a des préférences le contre.
- https://www.youtube.com/watch?v=NIizNKEyEDI
- https://www.youtube.com/watch?v=ZuiutGVyN_k
- https://www.sqrc.gouv.qc.ca/documents/relations-canadiennes/politique-affirmation.pdf
- https://www.thecanadianencyclopedia.ca/fr/article/revolution-tranquille
Sujet 4 – La complexité du pluriculturalisme québécois dans la vie contemporaine (Benham)
Dans la province canadienne, la politique québécoise affronte une idée très contemporaine et complexe: le pluriculturalisme. Il semble que Québec soit plus divers avec différentes communautés par la réalisation du concept du multiculturalisme, donc la politique de la Loi sur le Multiculturalisme a été mise en œuvre. Elle permet aux Québécois de conserver leur héritage ethno culturel—la langue, la tradition, la coutume—et d’être reconnus et soutenus par les organisations québécoises. Cette loi suit le but de promouvoir la liberté de toutes les communautés québécoises quel que soit le contexte, comme la religion. De plus, les Canadiens qui aiment l’idée du multiculturalisme sont plus susceptibles de soutenir les minorités de langue officielle et la dualité linguistique. De cette manière, la politique québécoise préserve les patrimoines culturels de toutes les communautés, majoritaires et aussi minoritaires.Cependant, seulement la politique du multiculturalisme ne marche pas dans une société avec pleine liberté et égalité, comme le pluriculturalisme tient une autre partie: l’interculturalisme. Le problème avec juste le multiculturalisme est la séparation sociale des différentes communautés québécoises parce que chacune d’elles préserve exclusivement son propre patrimoine culturel, et rien les unit. En fait, certains disent que la politique du multiculturalisme, oui, encourage les immigrants et la continuité de la culture de chaque groupe québécois mais au détriment de l’identité nationale. Alors, pour unir la province québécoise, la politique de l’interculturalisme a été mise en œuvre aussi, qui promeut les interactions entre les groupes minoritaires et exige le français comme langue commune du Québec. Avec ces deux principales, la politique du Québec suit un cumul des mandats—un équilibre du multiculturalisme et de l’interculturalisme—pour ne pas seulement préserver toutes les communautés québécoises et leurs héritages culturels, mais aussi les intégrer au Québec et créer une vraie unité, un vrai nationalisme, de la province canadienne.