Des histoires drôles, de Elena S.

Cardinal Richelieu, divisée par https://comptoirducouteau.fr/richelieu-est-il-vraiment-inventeur-couteau-table/

L’invention de la petite épée

Il était une fois un cardinal qui s’appelait Richelieu. Il habitait pendant une ère où le peuple marchait avec des grandes épées tenues fièrement aux mains (les 1600s). C’était dangereux au dîner ! Même si c’est facile de couper la viande avec une épée, c’est même plus facile de couper les autres par erreur ! Richelieu, fatigué par les « spectacles de mort » qui se passent pendant les repas, a utilisé son pouvoir de l’église pour implémenter une nouvelle stratégie. Il a créé une « petite épée », ou, comme nous l’appelons au présent : le couteau. Ce couteau pourrait couper les viandes, légumes, et fruits sans problème, mais il protégerait aussi les camarades qui se reposent à table. Une bonne idée ! Suivant le grand succès de l’invention, le couteau était partagé partout en France et dans le monde… ce qui nous a donné la sécurité utile dont nous avons l’habitude profitons aujourd’hui.

Marie Antoinette, divisée par https://royalcentral.co.uk/features/marie-antoinette-last-queen-of-france-138693/

« S’ils n’ont pas de pain… Qu’ils mangent de la brioche ! »

Les mots bien connus dans le monde entier. Les mots étaient énoncés par Marie Antoinette, et c’était sa réponse à la pauvreté et la famine du peuple entourant Paris et la France. Malheureusement, on ne peut pas être certain si elle voulait dire une blague ou si elle était sérieuse, mais elle a choqué son entourage et le public… Probablement ces mots ont donné plus d’exigence pour sa mort pendant la Révolution Française. L’interprétation est différente avec chaque personne qui raconte l’histoire. Était-elle désinvolte ? Passionnant parce qu’elle parlait avec du sarcasme ? Au public, ses mots étaient sévères. Pour les personnes dans les rues qui avaient faim, qui menaçaient les vendeurs, ou qui manifestaient en causant des émeutes en entendant la réponse de la reine de leurs problèmes… c’est possible qu’on ne saura jamais la raison de ses remarques.