Deux questions pour tout le monde:

  1. Quelle était la chose la plus difficile pour toi à l’Académie?
  2. Quelle a été ton expérience préférée de l’Académie?

Elena S. 

  1. La chose la plus difficile pour moi à l’Académie était n’ayant pas peur de Covide et l’infection. Tous les jours, j’étais entourée de presque soixante-dix académiciens, profs, et monos. Trois repas chaque jour, sans masque. J’ai choisi d’aller à l’académie à cause de ma foi que j’accomplirais, finalement, mon rêve de participer à cette académie. C’est vraiment quelque chose que je voulais depuis longtemps- presque 4 années. Je me suis dit que je serais en sécurité, que je porterais mon masque tous les jours et que je serais loin des autres. Mais je partageais une salle de bain avec trente autres filles. Je faisais du sport (le jogging, la natation, le foot, le zumba, etc.) et des activités comme la danse ou les arts. Chaque jour, je mangeais 2 heures au total avec tout le monde, chaque déjeuner assigné à un siège spécifique pour interagir avec de nouvelles personnes. Toutes les choses pour une bonne raison; les fondements de l’académie française du gouverneur se soutiennent sur l’interaction entre étrangers qui partagent l’amour pour la langue. Les opportunités que j’ai eu ici sont précieuses et spéciales, mais je ne peux pas oublier que la pandémie continue. Je ne m’arrête pas d’avoir peur. Les rhumes, la grippe, le covide… toutes les maladies dont j’avais peur pendant le temps que je passe ici. J’espère que ce ne sera pas un problème pour les années qui suivent, donc qu’on ne manquera pas le cadeau d’un nouveau monde présenté ici.
  1. Je peux dire, avec la certitude absolue, que mon expérience préférée à l’académie française du gouverneur était, et sera toujours, l’entraînement militaire. L’université de Washington and Lee est à côté de VMI, l’institut militaire de Virginie. Avec notre guide, mes amies et moi avons couru 3.5 miles en explorant la forêt, la piste et la ville de Lexington. En utilisant les obstacles de VMI à l’extérieur, nous avons grimpé des cordes, nous nous sommes balancées sur les rondins roulants, et avons rampé à travers de la “boule”. C’était incroyable et une expérience que je voudrais répéter encore et encore. En fait, j’espère que j’aurai une autre occasion d’utiliser l’équipement comme ça à l’avenir proche. Peut-être que j’irai à l’université de VMI ou l’académie navale en Maryland. Le FBI ou la CIA. Je ne sais pas. La seule chose que je connais vraiment est que je trouverai toujours la rue qui est la plus difficile à traverser. La plus nouvelle, dangereuse, intrigante. Le besoin que je tiens près de mon cœur est la raison de mon amour pour des langues, pour des sports. Quand je me challenge, j’apprends des nouvelles choses de moi-même, différentes cultures, et différents peuples. Je change et j’adapte. Je m’améliore. Et cette raison ici, cette exigence et ma motivation, et quelque chose que je pourrais explorer à l’académie. Donc, merci profs, monos, élèves, directrice, pour me donner une opportunité de me trouver.

Elina C.

  1. Quelque chose qui m’a frustré à l’académie était quand je voulais expliquer un histoire ou un sentiment compliqué, mais je n’avais pas de mots justes pour m’exprimer. D’habitude, j’ essayerais de trouver d’autres synonymes ou je chercherais de nouveaux mots dans un dictionnaire. Parfois, j’utilisais des mouvements fous avec les mains alors que mes amis me comprenaient. J’aimais quand quelqu’un pouvait comprendre le mot que je cherchais et il pouvait me dire le mot en français. Grâce à mon amie, je n’oublierai jamais le mot “éternuer”. Je crois que ces moments à l’académie ont vraiment fait grandir mon vocabulaire, même s’ il y avait un peu de gêne. 
  1. Mon souvenir préféré était la Coupe du Monde. Pendant deux semaines, l’équipe pratiquait ensemble pour essayer de gagner contre l’Académie Allemande et l’Académie Espagnole. Le plupart de notre équipe n’avait jamais touché un ballon de foot dans leurs vies entières, alors nos entraîneurs, Henri et Kendra, nous ont beaucoup aidé à nous améliorer. Avant que le premier jeu a commencé, on était déjà fiers de nous-même. Durant les jeux, on n’a jamais abandonné la bataille. Pour moi spécifiquement, j’ai eu l’opportunité de prendre le pénalty contre les espagnols. Heureusement, j’ai marqué le but, et c’était un moment génial pour notre équipe. Même si on n’a pas gagné la coupe du monde, c’était clair que les français avaient le meilleur esprit. Avant, durant, et après le jeu, on dansait du zumba, on chantait toutes les meilleures chansons françaises, et on criait le célèbre “Allez les bleus!”. Donc oui, j’ai “un peu de fierté” pour ce souvenir.

Gabriel S. 

  1. La chose la plus difficile pour moi de cette académie était d’être loin de ma famille pour trois semaines. En ajoutant d’être à plusieurs miles de chez-moi, je dois créer des nouveaux amis, ce que c’est difficile pour moi parce que normalement je suis très timide, et je n’ai pas beaucoup d’amis où j’habite. Aussi, la barrière de “pas d’anglais” à l’académie m’a présenté un autre défi parce que je connais l’anglais mieux que le français, et je n’ai pas eu d’expérience à parler le français dehors de l’école. Ces trois défis m’ont menacé, et quelques temps, j’ai pensé que je ne me suis pas intégré dans l’académie, mais heureusement, les académiciens, les monos, et les profs ont été tous gentils, et ils ont compris ma situation.
  1. Les cours d’apprendre les langues étrangères à cette académie étaient mon expérience préférée. C’était intéressant parce que les profs doivent utiliser le français en place d’anglais pour expliquer les langues que nous apprenons. Par exemple, j’ai appris l’arabe et un peu d’italien cette année.  Normalement si je veux apprendre ces langues, j’utiliserais l’anglais pour les interpréter, mais dans cette académie, il était plus différent de ça parce que le français a été utilisé pour enseigner les nouveaux mots, les règles de grammaire, prononciation, et l’écriture. Utiliser le français au lieu de ma langue primaire pour apprendre les autres langues a été étrange pour moi au début parce que je n’ai pas utilisé le français régulièrement pour communiquer, mais après quelques jours, je m’amusais en apprenant comme ça parce que c’était une expérience unique où les modes d’enseigner sont très différents que des cours de langues typiques.

Rheanna M.

  1. Je pense que parler français seulement pendant trois semaines était la chose la plus difficile pour moi. De plus, je pense qu’expliquer moi-même en français était difficile pour moi. En plus, dans mes cours de français, mon prof demande rarement pour  ma classe de parler français. Je pense que parce que je ne parle pas français dans ma classe est une des raisons pourquoi  j’étais effrayée de parler français à l’Académie Française. Ensuite, je crois que je n’ai pas mon portable est difficile pour moi car j’adore écouter de la musique et écouter de la musique autres personnes préfèrent était difficile pour moi. Je crois que c’était difficile pour moi de ne pas être avec ma famille, principalement ma mère parce que je parle avec ma mère sur mon portable. Malgré, l’Académie Française est difficile, j’adore mon expérience. 
  1. Les expériences que je préfère dans l’Académie Française sont toutes les expériences car, chaque expérience est très différente. Chaque expérience dans l’Académie Française suscite une émotion parce que je ressens quelque chose de différent avec les étrangers qui devient comme ma famille. Je pense que les expériences dans l’Académie Française sont uniques et magiques. À apprendre d’autres langues pendant les trois semaines ainsi que faire la langue qu’on apprend pour longtemps mieux est différent encore palpitant. Mes expériences dans l’Académie Française, je les chérirai pour le reste durée de ma vie